En avril, le ciné-club vous propose un documentaire de circonstance :
LES NOUVEAUX CHIENS DE GARDE
de Gilles Balbastre et Yannick Kergoat
Prix du public, prix de jury Festival 2 cinéma Valenciennes 2011
Séance mardi 10 avril, 20h
inscriptions sur le blog ou au BVS
Rappel : les internes doivent donner au BVS une autorisation de sortie au plus tard lundi 9 avril 12h.
Rappel : les internes doivent donner au BVS une autorisation de sortie au plus tard lundi 9 avril 12h.
Synopsis :
Les médias se proclament "contre-pouvoir". Pourtant, la grande majorité
des journaux, des radios et des chaînes de télévision appartiennent à
des groupes industriels ou financiers intimement liés au pouvoir. Au
sein d’un périmètre idéologique minuscule se multiplient les
informations pré-mâchées, les intervenants permanents, les notoriétés
indues, les affrontements factices et les renvois d’ascenseur.
En 1932, l’écrivain Paul Nizan publiait Les chiens de garde pour dénoncer les philosophes et les écrivains de son époque qui, sous couvert de neutralité intellectuelle, s’imposaient en véritables gardiens de l’ordre établi.
Aujourd’hui, les chiens de garde sont journalistes, éditorialistes, experts médiatiques, ouvertement devenus évangélistes du marché et gardiens de l’ordre social. Sur le mode sardonique, LES NOUVEAUX CHIENS DE GARDE dénonce cette presse qui, se revendiquant indépendante, objective et pluraliste, se prétend contre-pouvoir démocratique. Avec force et précision, le film pointe la menace croissante d'une information produite par des grands groupes industriels du Cac40 et pervertie en marchandise.
En 1932, l’écrivain Paul Nizan publiait Les chiens de garde pour dénoncer les philosophes et les écrivains de son époque qui, sous couvert de neutralité intellectuelle, s’imposaient en véritables gardiens de l’ordre établi.
Aujourd’hui, les chiens de garde sont journalistes, éditorialistes, experts médiatiques, ouvertement devenus évangélistes du marché et gardiens de l’ordre social. Sur le mode sardonique, LES NOUVEAUX CHIENS DE GARDE dénonce cette presse qui, se revendiquant indépendante, objective et pluraliste, se prétend contre-pouvoir démocratique. Avec force et précision, le film pointe la menace croissante d'une information produite par des grands groupes industriels du Cac40 et pervertie en marchandise.
Bande-annonce :