Makala

En janvier, nous vous invitons à découvrir Makala au ciné-club : 



  Makala
(« charbon », en swahili) d’Emmanuel Gras

France - Décembre 2017 .
un documentaire
d’Emmanuel Gras

(Grand Prix Semaine de la Critique -Cannes 2017 )

durée : 1h 36min

 

Séance le mardi 23 janvier à 20h


Rendez-vous devant le lycée à 19h30 pour les internes, 
devant le cinéma à 19h45

Inscriptions jusqu'au lundi 22 janvier, 20h



Synopsis : Au Congo, un villageois rêve d’un avenir meilleur. Il peut compter sur les arbres de la brousse environnante, ses bras et sa volonté tenace. Après 50 kilomètres de routes inhospitalières, il découvrira le prix réel de ses rêves. Entre thriller social et chronique métaphysique, Makala brûle de l’essence noire de son titre. Il en a l’éclat ténébreux et la dureté, qui est aussi celle de la vie de Kabwita, héros d’un voyage harassant.

Critiques : 
Les Inrockuptibles par Serge Kaganski  On a presque la sensation de participer, de transpirer et de s'essouffler avec le personnage. Si la grandeur du cinéma réside dans sa puissance d'incarnation, de dévoilement, de renouvellement du regard, alors on sait que "Makala" est grand dès ses premières minutes.

Positif par Dominique Martinez  : Image somptueuse, cadrages soignés, lumière naturelle choisie et quelques notes de violoncelle qui suggèrent une dimension existentielle. Emmanuel Gras ose la beauté de l'humain et de la matière pour filmer le travail (...)

Le Monde par Jacques Mandelbaum : Makala fait à ce titre partie d’une famille disparate qui, contre toute attente, réunit le néoréaliste Voleur de bicyclette (1948), de Vittorio De Sica, au huis clos hollywoodien, On achève bien les chevaux (1969), de Sydney Pollack.
 
Bande annonce